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jeudi 16 mars 2023

FAKE NAMES – Expendables

 


 FAKE NAMES – Expendables

Epitaph

 

 Il n’est pas usurpé de dire que dans ce groupe se rassemble la fine fleur de l’histoire du punkrock car ses membres ont tous joué dans des groupes mythiques que ce soit Minor Threat, Bad Religion, Refused, Fugazi, Girls Vs Boys… J’avais déjà déjà parlé du groupe à l’occasion de la sortie de son premier album en 2020 qui se révélait un peu tiède à la vue du pedigree de ses membres, puis de son premier EP en 2021 bien plus convaincant.

Alors pour casser tout suspens, Expendables est pour moi leur meilleure production à ce jour. Je pense que sur les précédentes la difficulté devait résider à composer ensemble et créer une cohésion de groupe alors que ses membres sont géographiquement éloignés, ajouter du chant composé à distance… Mais cela semble chose résolue désormais compte tenu de la qualité de ce deuxième opus.

 

 

Tout commence avec Targets, un morceau frais et ultra dynamique qui n’est pas sans rappeler la période The (International) Noise Conspiracy, bien évidemment le chant de Lyxzen y est pour beaucoup mais musicalement on s’en rapproche aussi avec notamment un son de guitares assez proche. Fake Names arrive à conjuguer énergie rock 60’s et riffs pop notamment sur la sirupeuse Go.

Le chant et la voix de Lyxzen font vraiment des merveilles sur l’ensemble des morceaux et ses variations ajoutent du rythme (Damage done). Comme à son habitude ses textes sont très politisés et anticapitalistes (Targets).

 

Madtown est un morceau intéressant, un peu bluesy mais surtout très pop sur la forme tout comme Don’t blame yourslef qui se révèle très smooth. Mais Fake Names varie les styles car d’autres titres se trouvent plus orientés garage punk comme delete myself, Expendables ou encore damage done.

 

Ce deuxième album de Fake Names est donc plus cohérent et homogène en termes de qualité. Les morceaux restent plus cools dans le sens pas effrénés, accrocheurs avec des riffs sympas. Et si on aurait pu s’attendre à un ou deux tubes en puissance il n’en demeure pas moins une très bonne surprise.

 

J. NeWSovski

 

 

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mercredi 10 juin 2020

FAKE NAMES – s/t



FAKE NAMES – s/t

Epitaph

 

Toute l’histoire de Fake Names part de Brian Baker, le légendaire guitariste de Bad Religion et Dag Nasty mais aussi bassiste de Minor Threat, il retrouve son ami de toujours, le guitariste Michael Hampton (qui a officié dans des groupes comme State Of Alert avec Henry Rollins, Embrace avec Ian MacKaye et One Last Wish). Le duo commence à composer des morceaux ensemble et sentant le truc intéressant, il se rapproche alors de Johnny Temple, bassiste de Girls Against Boys. En 2016, alors que Bad Religion, Girls Against Boys et Refused se croisent lors d’un festival à Chicago, le courant passe avec Dennis Lyxzen qui a toujours cité Embrace et Minor Threat comme ses références, les gars lui passent une démo et Dennis, de retour en Suède enregistre sa voix dessus. La structure de Fake Names est en place.

 

Fake Names ré-enregistre alors une démo qui deviendra cet album sous la pression de Mr Brett Guerewitz himself.

Avec 10 titres dépassant rarement les 3 minutes, Fake Names prend ses racines dans le punkrock des années 80 mais en y apposant des riffs finalement très pop. L’excellent morceau d’ouverture, All For Sale, respire le rock’n’roll, le chant de Lyxzen me rappelle l’époque de the (international) Noise Conspiracy, la rythmique est assez sage en opposition à Brick, bien plus incisif qui dégage une énergie communicative tout en conservant de belles mélodies.

Le groupe sait mettre de l’intensité dans ses mélodies comme sur Being Them mais ce qui ressort principalement de cet album est ce son brut et simple qui ne regorge pas d’effets sur lequel viennent se poser des chansons assez « légères », à la vue des précédents groupes de ses membres.

Quelques morceaux plus légers comme Darkest Days ou le surprenant Heavy Feather viennent apporter de la fraîcheur et puis certains se révèlent extrêmement catchy comme Weight ou First Everlasting.

 

Sans être l’album majeur de cette année il n’en demeure pas moins très intéressant et j’espère que le groupe aura à cœur de poursuivre l’aventure car elle semble prometteuse.

 

J. NeWSovski

Morceau préféré :                                    Brick

 

 

 

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mardi 21 avril 2020

Clip - Fake Names


Voici Fake Names, super groupe formé de Dennis Lyxzen (Refused, International Noise Conspiracy), Brian Baker (Bad Religion, Dag Nasty, Minor Threat), Johnny Temple (Girls Against Boys) et Michael Hampton (Embrace, One Last Wish). L'album doit sortir sur Epitaph début mai.


mercredi 2 octobre 2019

samedi 15 juin 2019

BAD RELIGION - Age of unreason




BAD RELIGION - Age of unreason
Epitaph
8.5/10

Si l’on devait réduire le punkrock a une poignée de groupes pour sûr que Bad Religion en ferait partie de par sa longévité, son vécu et son aura. Rares sont les groupes de ce calibre. Formé au début des années 80, 17 albums au compteur et malgré leurs 50 ans passés le groupe continue à tourner à travers le monde.
Alors que dire de Age of unreason ? Depuis quelques années les albums des californiens se suivent et se ressemblent. Ceux de leur retour sur Epitaph sortent du lot notamment le trio The process of belief, New Maps Of Hell, The Empire Strike First, les suivants montraient un côté plus fade et monocorde.

Ce nouvel album arrive 6 ans après True North et c’est aussi le premier depuis l’arrivée de Trump à la tête du gouvernement américain et, quand on connait les penchants politiques du groupe, il ne peut être qu’incisif. Et je le trouve très bon dans le sens où dès le début on sent une belle énergie, Chaos from Within est rapide, rythmé et renoue avec les grands morceaux marquants, c’est aussi le cas de Faces of grief, moins bon certes, mais agressif un peu comme le groupe savait le faire à ses débuts.

Age of Unreason recèle de véritables pépites Do The Paranoid Style ou End Of History par exemples dans le style caractéristique des californiens. Candidate part comme une chanson solo de Greg Graffin, avec une intro folk qui s’envole ensuite sur une rythmique assez lente mais prenante.

Et puis Bad Religion innove aussi avec Big Black Dog au rythme saccadé mais tellement mieux fait que leurs premières tentatives sur No Substance, innovations aussi sur les effets fuzz sur Downfall qui donnent un côté surf californien au groupe.
Je regrette cependant de ne pas avoir une assez bonne maîtrise de l’anglais pour appréhender toutes les subtilités des textes proposés.


Ce 17ème album est au final une belle surprise de la part de Bad Religion. Un album plaisant, vif avec des titres accrocheurs. Malgré l’âge, force est de constater que le groupe a toujours l’énergie et l’inspiration pour sortir de très bons albums.

J. NeWSovski

Morceau préféré :                                    Do The Paranoïd Style



lundi 5 novembre 2018

Clip - Bad Religion

Bad Religion est de retour avec un nouvel album et pour nous le faire découvrir ils ont mis en ligne The Profane Rights Of Man.


jeudi 26 juillet 2018

DIRTY FONZY – Covering punk songs (EP)




DIRTY FONZY – Covering punk songs (EP)

C’est dans l’air du temps les reprises. Et tant mieux car j’adore ça. Les Dirty Fonzy s’y collent à leur tour avec un EP de 8 titres qui permet de visualiser encore mieux les références et influences du groupe.

Ça commence par Riot Squad des Cock Sparrer, s’enchaînent She’s automatic de Rancid et American Jesus de Bad Religion.  Deux bons titres repris fidèlement. Le groupe est fan de Face To Face et reprend deux de leurs titres à savoir A-OK et It’s not over. J’aime bien aussi la reprise de NoFX, Murder the government, et celle des Clash, I Fought The Law, même si eux-mêmes l’ont repris à The Crickets. J’allais oublier Creatures de The Adolescents.

Un petit EP sympa, avec des reprises fidèles qui passe tout seul à l’apéro en ces soirs d’été.

J. NeWSovski



lundi 29 janvier 2018

Clip - #GOALS

#Goals c'est un groupe avec un ancien mec de Bad Religion et des anciens Circle Jerks.

lundi 1 janvier 2018

Les gars d'HATEFUL MONDAY ont-ils bon goût ?

Commençons cette nouvelle année avec un groupe exotique qui sent bon le soleil... des montagnes suisses. Le groupe fêtera cette année ses 20 ans l'occasion de savoir si Seb et Igor ont bon goût. Pour Jean Rem, dernier venu, on l'avait déjà questionné il y a quelques mois/années lorsqu'il officiait dans The Rebel Assholes.




Votre groupe culte ?  

vendredi 29 septembre 2017

HOT WATER MUSIC – Light It Up



HOT WATER MUSIC – Light It Up
Rise Records
8/10

Hot Water Music est un des rares groupes qui me procure une impatience extrême dès l’annonce de la préparation d’un nouvel album, cette envie d’immédiatement se jeter dessus. Chose faîte le jour de sa sortie.

C’est donc avec plaisir que je retrouve la voix de Chuck Ragan sur Complicated, un morceau typique du groupe qui associe de jolies mélodies, de la grosse voix et une basse omniprésente. Même recette sur Show your face, et sur Never Going Back plus lent mais plus intense. J’aime aussi beaucoup Sympathizer un titre en mid-tempo dont les voix poussées montent encore d’un cran en intensité. Autres moments très forts avec Bury your idols et High Class Catastrophe.

Quelques titres en dessous notamment Rabbit Key chanté par Chris Wollard ainsi que Light It Up et Vultures qui ressemblent bien plus à des titres de Bad Religion, le chant saccadé peine à convaincre et les chœurs sont plutôt moyens. Hold Out est aussi peu pertinent, répétitif et rébarbatif. Ces titres disséminés un peu partout à travers light it up gâchent un peu l’impression générale d’un album qui se veut agréable.

Light it Up est un album hétérogène qui regroupe de bons morceaux, notamment ceux plus lents. La voix de Ragan fait encore étalage de toute sa magie bien épaulée par celle de Wollard mais aussi la basse de Jason Black. On est loin de cultissimes No Division et Forever and counting mais qu’il est quand même fort agréable de retrouver le groupe de Gainesville

J. NeWSovski

Morceau préféré :                         Bury your idols


mardi 13 décembre 2016

Clip - Greg Graffin

Greg Graffin, chanteur de Bad Religion, s'est fendu d'une magnifique reprise de Norman Blake et le titre Lincoln's Funeral Train. Magnifique clip.

mardi 8 juillet 2014

Pennywise - yesterdays


Pennywise - yesterdays
Epitaph Records
8.5/10
Aaaah Pennywise... On se souvient des embrouilles de 2011. Jim, le chanteur, après un clash avec Fletcher était parti pousser la chansonnette dans un nouveau projet : The Black Pacific avec lequel il a sorti un LP. Pennywise avait poursuivi l'aventure en s'octroyant les services de Zoli d'Ignite. Et comme un vieux couple qui se rabiboche Jim est rentré à la maison et aujourd'hui un 11ème bébé voit le jour.
C'est vrai que 11 ça commence à chiffrer et on se rapproche petit à petit de Bad Religion, leur maître absolu. Et dès le premier morceau un changement important est à noter, Pennywise sonne oldschool. Oldschool Pennywise faut-il comprendre, époque du premier album éponyme et aussi Unknown Road. Une rythmique dynamique mais pas très élevée accompagne What you deserve et Noise Pollution avec un son qui rappelle celui des débuts et notamment une guitare incisive. Restless Time et Violence never Ending accélèrent le rythme et se trouvent être efficaces. La suite de l'album est du même acabit avec des titres efficaces sans être ultra accrocheurs, on retiendra quand même Slow Down qui, avec un peu plus de folie aurait pu nous immerger totalement dans les 90's et rappeler au bon souvenirs des excellents titres d'About Time.
Yesterdays porte donc bien son nom et, au delà de sa pochette nostalgique, rappelle les grandes heures du groupes et notamment les 4 excellents premiers albums. Tous les fans de la première heure prendront donc du plaisir à l'écouter et se raviront du retour de Jim. L'aventure continue.

Mon titre préféré:           Slow Down


Je remercie Olivier de m'avoir éclairé sur cet album qui est en fait très spécial puisqu'il s'agit de morceaux composés il y a des années justement à l'époque des Unknown Road et compagnie, d'où le titre et ce style que j'ai pu, dans la chronique, caractériser d'old school. Les morceaux ont donc été composés il y a longtemps mais enregistrés cette année. Il s'agit donc bien d'un nouvel album avec de "nouveaux anciens titres". Si cette tirade peut s'écrire...

Au passage j'en profite pour faire un petit top 5 de mes albums préférés du groupe d'Hermosa Beach.

1. Full Circle (1997)

2. About Time (1995)

3. Pennywise (1992)

4. Yesterdays (2014)


5. Land Of The Free (2001)

mercredi 6 novembre 2013

Tribute to Tony Sly




Tribute to Tony Sly
Fat Wreck Chords
8.5/10
Décédé l’an passé, Tony Sly était l’un des personnages importants voire incontournables d’un style musical qui connut son apogée dans les deux derniers tiers des années 90. Chanteur et guitariste de No Use For A Name, qui fut, pour les plus jeunes lecteurs,  un très bon groupe. Pas tout à fait au niveau des Bad Religion, NoFX, Pennywise ou Rancid je trouve, mais un élément majeur tout de même surtout lorsqu’on (ré)écoute Leche Con Carne ou Making friends et des titres comme On The Outside, Soulmate, Justified Black Eye ou Fairytale of New York avec Shane Mc Gowan. Ce tribute sorti finalement assez rapidement après le drame montre l’aura qu’avait Tony Sly sur la scène et c’est un hommage puissant et émouvant que ses amis lui rendent.

La liste des groupes participants est impressionnante : Bad Religion, LagWagon, Pennywise, NoFX, Rise Against, Snuff, Alkaline Trio, Anti-Flag,  Boucing Souls…
Les reprises sont parfois étonnantes comme On the Outside par jon snodgrass and the dead peasants, ce dernier officiait dans Armchair Martian et Drag The River. Une reprise calme et posée qui met en valeur le texte fort. Un titre aussi repris par Snuff qui de façon un peu surprenante est presque dans le même registre. Mention spéciale aussi pour Bad Religion avec Let It Slide ou American Steel et Alkaline Trio qui offre de très belles versions. Je reste cependant un peu sur ma faim avec le Justified Black Eye exécuté par … Simple Plan.

Un hommage touchant à une grande figure du punkrock qui alterne des versions posées, acoustiques et des versions  plus fidèles et qui regroupe  la fine fleur de la scène mondiale.

Mon titre préféré: Jon Snodgrass – on the Outside

lundi 28 octobre 2013

Bad Religion – christmas songs





Bad Religion – christmas songs
Epitaph Records
8/10
Tradition américaine oblige, un nouvel album de chansons de Noël débarque dans les bacs. Cette année c’est Bad Religion qui s’y colle. Je ne sais pas à quel degré il faut prendre l’exercice surtout de la part d’un groupe qui porte ce nom et ce logo si caractéristique. Pour ma part je me fixerai juste sur le coté musical et la façon dont le groupe reprend ces titres sachant que sur les 8 je n’en connais en fait que 3… Et bien à part le premier morceau qui m’a fait légèrement peur de par son coté solennel je dois avouer que c’est assez plaisant. Mention spéciale d’ailleurs à « little drummer boy » vraiment excellent qui m’a replongé dans mon enfance près du 45 tours de Nana Mouskouri et son « L'enfant au tambour » triste à souhait. Le 9ème morceau est en fait un remix d’American Jesus par Andy Wallace lui-même sur lequel apparaissent toujours les chœurs d’Eddie Vedder et qui ne se veut pas vraiment différent de l'original.

Un album un peu en marge de la discographie du groupe de par son thème et l'origine de ses reprises mais assez plaisant à écouter. Spécialement étudié pour un petit réveillon rock’n’roll.

jeudi 22 août 2013

Question d'Artwork - partie 3



Bad Religion est LE groupe emblématique du punkrock californien. Présent depuis le début des années 80 le groupe est toujours actif depuis. C’est en 1988 que la bande de Greg Graffin et Brett Gurewitz sort le cultissime SUFFER sur Epitaph (le label de Brett). Une très belle illustration signée de Jerry Mahoney.





mardi 22 janvier 2013

Bad Religion - True North




Bad Religion - True North

Epitaph

7/10
La sortie d’un nouveau Bad Religion est toujours un évènement notamment parce que le groupe est un monument du punkrock mondial et qu’il a énormément contribué a faire progresser le style, le démocratiser. C’est aussi une influence majeure de grand nombre de groupes actuels. Les doyens californiens (moyenne d’âge : 45 ans) sont dans le circuit depuis le début des années 80 et avec 16 albums ils doivent être l’un des groupes les plus prolifiques dans le style. Rappelons aussi que Brett Gurewitz, l’un des 3 guitaristes, est le fondateur d’Epitaph, label majeur des années 90-2000 (Pennywise, NoFX, Rancid, Descendents…).



True North est annoncé comme un album rapide de Bad Religion (par Fletcher de Pennywise), en réalité ce n’est pas vraiment le cas. Il se situe au même niveau que The Dissent Of Man, peut être un peu meilleur mais est loin d’égaler le triptyque The Process Of Belief / The Empire Strikes First / New Maps Of Hell. Énergique sur certains titres comme « Fuck you » « changing Tide » ou « Land of Endless Greed » ce dernier imposant la marque de fabrique du groupe : Chant qui monte sur le refrain, chœurs et solo de Brett. Mais les californiens se montrent moins inspirés sur une petite poignée de titres « darhma and the bomb » (référence à Lost ?) « vanity »  ou la balade « hello cruel world » bien partie mais qui se meure petit à petit. Sur la fin on a le droit a une série de morceaux intéressants et sympas mais pas non plus des plus clinquants : « crisis Time », « the island » « my head is full of ghosts »… 
Même s’il arrive à la cinquantaine Greg Graffin se veut toujours un excellent chanteur avec des textes inspirés (« changing Tide »), derrière les gars sont toujours affutés, que ce soit Mr Brett, qui se fait bien plaisir sur les solos, ou  Brooks Wackerman très affuté à la batterie. Après, et même si les mecs sont des pointures, je me demande où est l’intérêt des 3 guitares ?



Certainement pas l’album le plus mémorable de Bad Religion, True North, avec sa pochette old school, se veut certes agréable à l’écoute mais n’apporte pas la fraicheur et l’énergie d’un New Maps Of Hell, pourtant assez récent. On ne se permettra pas la comparaison avec un No Control de 1989, définitivement leur meilleur album à ce jour, mais plus avec un Recipe For Hate à la qualité assez proche.



3 titres à retenir : Changing Tide; Land of Endless Greed ; True North





Au passage mon petit 
top 10 des albums de Bad Religion 


1- No Control

2- Suffer
 

3- The empire strikes first

4- Generator

5- New Maps Of Hell

6- The Process Of Belief

7- Against The Grain

8- Stranger Than Fiction

9- Recipe For Hate

10- True North